7 questions à Muriel Ferstenberg
Cela fait quoi de collaborer avec Francis Cabrel ?
Cela m’a fait plaisir parce que j’ai toujours apprécié les chansons à texte.
Alors de les illustrer en peinture, a été un bon souvenir.
Muriel Ferstenberg en trois mots ?
Implication, sincérité, ouverture.
Votre plat préféré ?
Carpaccio tomates mozarella, simple et frais.
Comment reconnait-on une œuvre de Muriel Ferstenberg ?
Par un trait, un personnage, ou un animal, qui aurait son mot à dire. Pour ce qu’il en est de la couleur, celles qui soi-disant ne se marient pas, sont parfois celles qui s’entendent le mieux.
Vos sources d’inspirations ?
Les éléments sont pour moi une source d’inspiration.
J’ai toujours été touchée par les indiens qui les respectaient plus que tout. C’est sans doute pour cela que les animaux également, sont souvent représentés dans mes tableaux. La nature est plus forte que tout.
Racontez-nous l’anecdote la plus marquante de votre carrière en tant que femme artiste ?
L’anecdote n’est pas le mot que j’emploierai. Un semblant de tristesse plutôt.
Constater depuis longtemps que les femmes sont trop peu présentes dans les galeries. Avons-nous moins de choses à exprimer ? Je pense parfois, que c’est plutôt le contraire.
Un mot d’encouragement pour les femmes artistes ?
Encouragement, difficile pour moi d’en avoir, je ne suis qu’une femme artiste parmi les autres. Avec sa force et à la fois sa fragilité. Ce dont je suis certaine en revanche, c’est que nous avons toutes, notre place dans l’art. Hier, aujourd’hui, comme demain.